INFOS FLASH de la NEWSLETTER

  • NEWSLETTER OCTOBRE 2014

LES SEUILS SOCIAUX

 

Les seuils sociaux sont souvent décriés. Mais sont-ils bien appréhendés?

Le site www.chefdetreprise.com a créé une infographie pédagogique décrivant les obligations à respecter selon l'effectif de votre entreprise.

Souvent "une image vaut mille mots".

Le baromètre du moral des chefs d'entreprise

Depuis 2009, KPMG et la CGPME se sont associés pour publier chaque trimestre un baromètre exposant la perception de plus de 400 chefs d'entreprise sur le contexte économique de leur entreprise, sur leurs relations avec les leurs banques et sur des questions d'actualité.

Les chiffres clés de cette 22ème édition:

-          90% des chefs d'entreprise se déclarent inquiet pour l'économie française et même temps 44% d'entre eux jugent que le contexte économique n'a aucun impact sur leur condition d'accès aux crédits.

-          66% des dirigeants interrogés déclarent avoir au moins un besoin en financement.

-          43% des chefs d'entreprises souhaitent examiner les conditions d'autres banques.

-          20% des dirigeants d'entreprise utilisent ou ont utilisé les réseaux sociaux grands publics pour le développement commercial de leur entreprise.

 

Vous pouvez retrouvez la totalité de ces enquêtes sur le site de la CGPME.

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Baromètre 22ème vague
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l’échange « gagnant gagnant »

Forcé de constater que le partenariat devient incontournable en matière de stratégie d’entreprise, de nouveaux instruments et plateformes collaboratives offrent d’inhabituelles opportunités.

A l’image des constructeurs automobiles qui créent des plateformes d’auto-partage, d’Ikea France qui songe à généraliser la location de ses propres produits, ou bien encore du Bitcoin comme monnaie d’échange entre particuliers, voici le E-Barter, la nouvelle place de marché en ligne pour les professionnels.

Le principe est simple, financer une dépense avec sa production, et le concept innovant : les entreprises s’affilient au réseau et peuvent acheter et vendre sur le réseau via des unités de compte appelées Credit Barter.

 

Ce type de plateformes valorise l’échange comme un levier financier complémentaire, offrant davantage de souplesse au cycle d'exploitation de l'entreprise. C’est à la fois un moyen permettant de créer de nouveaux business models, mais qui semble également permettre de redynamiser des entreprises. Alors à tout les dirigeants d’entreprises, en particulier ceux des TPE et des PME, à la recherche d’un complément de croissance, l’échange collaboratif est la solution pour : 

  •          Valoriser vos actifs non utilisés ou devenus inutiles (ou stocks dormants)
  •         Préserver votre trésorerie
  •          Réaliser des échanges ponctuels avec ses partenaires habituels
  •           Aboutir à de nouvelles collaborations partenariales aux formes diverses (ventes classiques, sous-traitance, groupement d’entreprises…)
  •           Bénéficier d’une force commerciale supplémentaire en vous faisant connaître auprès de nouveaux clients potentiels…

Attention toutefois à ne pas devenir dépendant de ces échanges, à préserver vos actifs stratégiques et bien sûr à échanger au bon prix.

Ainsi, à l’avenir nous pourrions voir ces réseaux d’échanges faire l’objet d’une labellisation, assurant ainsi la qualité de l’échange propre à l’esprit coopératif du système.

Et vous, votre société est-elle entrée dans l’ère de la collaboration digitale ?

 

Vous pouvez trouver des conseils dans le guide des échanges interentreprises de biens et de services publié par le Ministère du redressement productif en janvier 2013.

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Le guide des échanges interentreprises de biens et de services
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  • NEWSLETTER SEPTEMBRE 2014

SERVICE A LA PERSONNE : DISPOSITIF INNOVANT DE RECRUTEMENT

La CGPME LR , et la  DIRECCTE LR ,en partenariat avec  Pôle Emploi , l’AGEFOS PME , CAP EMPLOI , le GRETA MONTPELLIER  , un groupe d’entreprises  piloté par Mr LEENHARDT de lA Société A VOS CÔTES  ont mis en place une action expérimentale et innovante de recrutement pour répondre à l’embauche de personnes qualifiées sur des métiers dit ‘en tensions’ .

A partir d’un programme de formation (400 heures) élaboré et personnalisé par rapport aux besoins spécifiques du groupe d’entreprises participant à l’action , une Préparation Opérationnelle à l’Emploi a été mise en place . Le recrutement des stagiaires s’est effectué à l’issue d’un programme de sélection des stagiaires en cinq étapes étapes , avec l’implication des employeurs .

  •  informations collectives sur les métiers du Service à la Personne, 
  • informations sur les métiers spécifiques aux  entreprises  participantes à l’action
  • sélection des candidats
  • speed dating avec les entreprises
  • entretien d’embauche et Signature du contrat de POE

Un groupe de 10 stagiaires a été retenu , (  de 18 à 57 ans , 7 femmes , 3 hommes , 4 personnes en situation de handicap .)

A l’issue de cette formation les stagiaires ont passé et obtenu leur titre de certification CCP1 et CCP2 de ADVS :Auxiliaire de vie Sociale et 7 stagiaires ont été recrutés en CDI .

Le CCP3 pour compléter cette formation pourra être  passé dans les  3 ans à venir , soit via une  période de professionnalisation soit en VAE.

DU NOUVEAU DANS LA TRANSMISSION : LA LOI DE L'ECONOMIE SOCIALE ET SOLIDAIRE

Cette loi, promulguée au journal officiel le 31 juillet dernier, concerne à première vue l'Economie sociale et Solidaire. Et bien pas uniquement.

Le titre II de la loi intitulé « Dispositions facilitant la transmission d’entreprises à leurs salariés » concernent la cession de fonds de commerce et de droits sociaux de toutes les entreprises quelque soit leur activité. En clair, une SARL de maçonnerie, une SAS familiale de commerce au détail, etc. sont potentiellement visées.

La loi (titre II art.18 à 22) prévoit pour toutes les entreprises répondant à la définition de PME qu'une information soit faite à l'ensemble des salariés par tout moyen donnant lieu à une date certaine de l'intention de céder le fonds de commerce ou la majorité des parts sociales. Cette obligation d'information sera applicable aux cessions conclues trois mois au moins après la date de publication de la loi. Les salariés sont tenus à une obligation de discrétion et ont deux mois pour proposer une offre de reprise.

Si l’information n’est pas faite, tout salarié peut requérir une action en annulation dans les deux mois. Ce dispositif d'information ne s’applique pas aux transmissions familiales, aux entreprises en conciliation, sauvegarde, redressement ou liquidation judiciaire.

La loi introduit aussi un dispositif de "formation" des salariés sur les possibilités de reprise d'une société par les salariés qui serait à organiser au moins une fois tous les trois ans.

Un décret d'application devrait définir le contenu et les modalités de cette "formation" et préciser les modalités d'exécution de cette loi. Alors ne nous précipitons pas!

L'UNION FAIT L'INNOVATION!

Encore une nouvelle expression "tendance" dans le monde de l'entreprise?

OUI et NON.

NON parce que cette association de mots existe depuis quelques temps déjà pour définir la notion de partage, de coopération entre entreprises pour trouver des solutions à une problématique donnée, pour améliorer un produit, pour développer un nouveau service,… bref INNOVER.

OUI parce qu'aujourd'hui de plus en plus d'entreprises y ont recours pour se développer.

A l'origine, l'innovation collaboratrice ou "open innovation" prenait forme via le partage d'informations sur des plateformes dédiées.

Aujourd'hui, elle se pratique:

- en interne pour mettre en synergie innovante les différents services d'une entreprise,

- en externe pour relier l'entreprise à ses différents partenaires c'est-à-dire ses fournisseurs, ses clients, … ou même ses concurrents.

Dans tous les cas, elle permet de rendre plus efficace les activités d’innovation de mutualiser les coûts et de diminuer les risques.

Hier, cette manière de travailler était utilisée par les grandes entreprises pour acquérir la souplesse des PME. Aujourd'hui elle se démocratise pour devenir la norme en matière de fonctionnement entrepreneurial dans l'ère du partage des connaissances et des savoir-faire au travers des modes de communication numérique.

Mais qui dit partage dit répartition des fruits engendrés par l'innovation! Comment répartir équitablement les droits de propriété intellectuelle? A suivre…

TRANSITION ENERGETIQUE

RGE : Reconnu Garant Environnement

A partir du 1er septembre 2014, seuls les particuliers qui feront réaliser leurs travaux de rénovation énergétique par des artisans ou entreprises ayant la mention RGE pourront bénéficier des aides de l’état. Pour en parler plus précisément, les Compagnons du Devoir vous invitent à une soirée sur ce thème le :


Lundi 22 septembre 2014 à 18 H 00
à la Maison des Compagnons de Nîmes


Contact : rossa.cgpme@gmail.com


  • NEWSLETTER AOÛT 2014

DECLARATION SOCIALE NOMINATIVE (DSN)

D'ici 2016, la DSN va simplifier les déclarations sociales de votre entreprise.

POURQUOI ATTENDRE ? 

« DITES LE NOUS EN UNE SEULE FOIS »

Le 1 er janvier 2016 , la Déclaration Sociale Nominative, ou DSN, apportera aux entreprises françaises un changement très important dans la gestion des déclarations sociales . Une transmission unique , mensuelle, réalisée directement à partir du logiciel de paie se sera substituée à la plupart de ces déclarations, y compris la DUCS et la DADS-U.

D’ici le 1 er janvier 2016, le périmètre des déclarations remplacées, ainsi que celui des entreprises concernées, va s’élargir progressivement . Mais dès aujourd’hui, les entreprises et les experts comptables peuvent démarrer leur passage à la DSN, sur la base du volontariat. Le moyen de profiter tout de suite des simplifications apportées, et aussi de se familiariser progressivement aux nouvelles dispositions.

  •  Une seule transmission, mensuelle et dématérialisée dont les données seront distribuées aux différents organismes de protection sociale publics et privés , via entreprises.fr ( ou msa.fr). Chaque salarié sera désigné par une identité unique .
  •  La transmission mensuelle sera complétée de façon ponctuelle par les événements propres à chaque salarié : maladie, congé maternité, fin de contrat de travail .

Finie l’angoisse de l’ « examen final » que représentait la DADS-U : le Social passe au contrôle continu !

Dès maintenant votre entreprise peut se porter volontaire pour passer par un portail unique pour souscrire aux différentes déclarations

N’hésitez pas à nous contacter pour savoir si vous êtes , dès maintenant DSN-compatible.

LA GED : UN INVESTISSEMENT ECONOMIQUE ?

Difficile à croire, mais entre l’impression, l’affranchissement et le dépôt au bureau de poste, l’émission d’une facture coûte en moyenne entre 8 – 13 euros à l’entreprise. Impossible d’imaginer entrer dans une stratégie de réduction des coûts sur la facturation. Pourtant, cette économie devient envisageable avec la mise en place d’une Gestion Electronique des Documents (GED)

Ce nouvel outil de gestion, permettant de classer, stocker, sécuriser, transférer et rechercher rapidement tous vos documents, se développe dans les organisations à vitesse grand V. Mais ce n’est évidemment pas les seuls apports attendus. Outre le gain d’espace et de temps, la mise en œuvre de cette solution facilitant l’accès à l’information, augmentera aussi la satisfaction de vos clients du fait de sa praticité. La dématérialisation des factures client diminuera votre besoin en fonds de roulement, et l’automatisation des procédures vous apportera une meilleure visibilité sur les dépenses engagées pour une comptabilité et un contrôle des coûts plus précis. Plus besoin de dépenser de l’argent dans recherche ou la création de documents, La GED limite le flux de papier et offre la possibilité d'échange et de partage des connaissances.
De la GED d’archivage à la GED de pilotage en passant par la GED collaborative, il est temps de s’intéresser au marché et de mener une étude comparative des solutions de GED en fonction de vos besoins et du budget à votre disposition.
Même si les coûts initiaux d’infrastructures et de formation des utilisateurs paraissent élevés, les bénéfices de la GED en font un investissement réfléchi et durable.

L’ENTRETIEN PROFESSIONNEL 

(Loi du 5 mars 2014 relative à la formation professionnelle, à l'emploi et à la démocratie sociale)


Depuis le 7 Mars 2014, l’entretien professionnel est devenu une obligation pour l’ensemble des chefs d’entreprise vis-à-vis de leurs salariés quelque soit l'effectif de l'entreprise. Quand et comment l’organiser ? Avec quel contenu ? Voici ce qu’il faut retenir :


Tous les salariés en activité sont concernés par l’entretien professionnel, quel que soit leur âge ou leur situation professionnelle. L’entretien professionnel est l’occasion de faire le point tous les deux ans sur les perspectives d’évolution professionnelle du salarié : analyse des possibilités d’évolution, identification des besoins de formation ou de qualification,... Par ailleurs, il constitue un outil qui va permettre d’élaborer le plan de formation de l'entreprise (recueillir des souhaits, identifier des compétences à maintenir, acquérir ou transférer…) puis de l'évaluer via le suivi et le bilan des actions de formation réalisées.
Tous les 6 ans, il donne lieu à un état des lieux récapitulatif du parcours professionnel : sur cette période le salarié devra avoir bénéficié des entretiens et d’au moins 2 des 3 éléments suivants : formation, évolution salariale/professionnelle, acquisition d’éléments de certification.
Entretien et état des lieux récapitulatifs donnent lieu à la rédaction d'un document dont une copie est remise au salarié.
Si l’entretien professionnel n’est pas proposé ou que le salarié n’a pas bénéficié de deux des trois mesures ci-dessus, l’employeur sera sanctionné. Notamment dans les entreprises de 50 salariés et plus, il sera tenu d’abonder à titre correctif le compte personnel de formation du salarié (CPF) de 100 heures (130 pour salarié à temps partiel), heures faisant l’objet du calcul d'une somme forfaitaire versée à l’OPCA (montant fixé par décret). >>> En savoir plus


  • NEWSLETTER JUILLET 2014

ANTICIPER : L'ENTREPRISE EN MODE VEILLE.

La veille s’inscrit dans une démarche entreprenante qui nécessite que l’on y passe du temps, que l’on se pose les bonnes questions pour faire les bons choix et par la suite gagner du temps. Pour cela,  il importe auparavant de définir les objectifs de la veille à mettre en place (stratégique, législative, économique, humaine …) ; analyser la tendance des clients/marché ? Alimenter un projet ? Connaître son environnement ? Avoir de la visibilité ? Anticiper les risques économiques/législatifs ?

Peu de moyens sont nécessaires pour initier votre veille et plusieurs outils, simples, gratuits et efficaces vous permettront de débuter. N’hésitez pas à les tester, du plus simple comme Google Alerts, aux lecteurs RSS dédiés comme Feedly en passant par les outils de partage de liens comme Diigo, Evernote ou encore Pearltrees. La veille est un cycle. Pensez à tester vos mots clés et les différentes méthodes, ainsi vous découvrirez de nouveaux articles pertinents. Puis affinez vos sources pour éviter le trop plein d’informations.

Enfin, diffuser et partager la veille avec vos collaborateurs sera le meilleur moyen d’améliorer la communication en interne et d’enrichir les informations collectées.

Bonne veille!

TRANSMETTRE: ETRE PRÊT A VENDRE SON ENTREPRISE A TOUT MOMENT POUR PÉRENNISER SON ACTIVITÉ.

C'est sûr: la meilleure transmission d'entreprise est celle que le chef d'entreprise a su anticiper.

D'ailleurs, le dirigeant devrait se tenir prêt à chaque instant à cette éventualité de cession. Cette attitude engendre un questionnement positif pour la pérennité de l'entreprise au moins à deux niveaux :

- La pertinence du modèle économique : L'entreprise est-elle toujours rentable? L'entreprise est-elle à l'écoute de son marché? A-t-elle su s'adapter? Commercialise-t-elle toujours les mêmes produits et services depuis sa création?...

- L'adéquation et l'adaptabilité de la Ressource Humaine: les salariés de l'entreprise développent-ils régulièrement leurs compétences? Le chef d'entreprise envisage-t-il son départ?

Ces interrogations amènent à une adaptation et une amélioration permanentes de l'entreprise générant une augmentation de sa valeur. Alors que l'échéance soit proche ou très lointaine, chefs d'entreprise prenez le recul nécessaire et interrogez-vous sur le fonctionnement de votre entreprise!

DÉVELOPPER : INNOVER VIA LE REGROUPEMENT INTERENTREPRISE

Depuis quelques années déjà, les entreprises se regroupent sous diverses formes "club", "cluster", "consortium", "district industriel", "filière", "groupement d’employeur", "pôle de compétitivité", "système productif local (spl)",… ou encore "grappe d’entreprises" avec des objectifs variés comme le fait de :

-          Bénéficier d’économies d’échelle grâce aux effets de volume dûs au nombre d’entreprises participantes,

-          Accéder à des moyens matériels et immatériels pour lesquels elles ont des difficultés d’accès à titre individuel,

-          Être connues et reconnues vis-à-vis des organismes institutionnels,

-          Être "plus fortes à plusieurs"…

Ces regroupements nécessitent une préparation importante et un fonctionnement structuré.

 Par ces temps de changement, pour les entreprises de toute taille, le maître-mot est "innovation" pour s'adapter à son environnement et son marché.

Cependant, innover seul demande du personnel dédié, une parfaite connaissance des évolutions des marchés, des moyens financiers importants,…

 

Alors, pourquoi ne pas penser à l'avenir à plusieurs en jouant sur le décloisonnement des métiers, des filières, des écosystèmes, …? Et donc en utilisant la méthodologie des regroupements d'entreprises en réduisant les contraintes pour s'ouvrir à la coopération interentreprise, dans un partage d'idées profitable à tous. Cette ouverture à l'autre peut prendre plusieurs formes en fonction des objectifs du rapprochement :

-          Coopération à la demande : regroupement de quelques entreprises de façon temporaire et opportuniste

-          Entreprise virtuelle : travail collaboratif et réactif d'entreprises diverses via les TIC

-          Coopétition : alliance de concurrents pour atteindre un objectif

 Il faut garder à l'esprit que la transversalité et le partenariat peuvent ouvrir des possibilités de créations de concepts, de produits ou de services tout en limitant les risques.

Chefs d'entreprise, regroupez-vous pour innover et prospérer!

L'ALTERNANCE : UNE CHANCE POUR L'ENTREPRISE

Que ce soit dans le cadre d'un contrat d'apprentissage ou d'un contrat de professionnalisation, le recours à un employé en formation en alternance confère des avantages à l'entreprise.

Tout d'abord, l'Etat encourage et aide la formation par alternance; Cette aide financière est confortée lorsque l'entreprise décide d'employer une personne en situation d'handicap sans limite d'âge. De plus, l'entreprise bénéficie de l'accompagnement du corps enseignant et pour les personnes en situation d'handicap c'est ALTHER ou CAP EMPLOI qui réalise le suivi.

L'alternance permet de préparer tout type de métiers et de tous niveaux du CAP au niveau ingénieur et de développer des compétences et des savoir-faire en adéquation avec les besoins de l'entreprise.

Ainsi, l'entreprise voit diminuer ses difficultés et la perte de temps en lien avec le recrutement.

L'accueil d'un employé en alternance génère aussi dans l'entreprise un certain dynamisme; le transfert des savoirs s'effectue bien souvent dans les deux sens : le salarié apporte la pratique et l'employé en alternance les évolutions des savoirs théoriques.

Bien que l'accueil d'un apprenti soit un investissement humain et financier, il permet à l'entreprise de s'ouvrir, d'inscrire l'entreprise dans la voie de la responsabilité sociale et de bénéficier d'un regard nouveau sur son fonctionnement.